Conditions de confort idéales au travail: mesures et conseils
Travailler dans un bureau ou un atelier au climat idéal n'est pas une chose toujours acquise, notre bureau propose une série de tests afin d'apprécier et d'améliorer le confort sur le lieu de travail.
Travailler dans un endroit confortable accroît la productivité et est bénéfique pour la santé. Il existe aussi une règlementation spécifique sur certains paramètres et certaines conditions de travail. |
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1. Mesure des indices PMV/PPD selon la norme ISO 7730
Le confort thermique sur le lieu de travail est dépendant de 6 facteurs importants: la température de l’air, de rayonnement, l’humidité, la vitesse d’air, la production de chaleur (métabolisme en fonction de l’activité physique) et l’habillement. Afin de pouvoir évaluer le confort thermique, ces facteurs doivent certainement être pris en compte. A l’aide de la mesure PMV/PPD ces facteurs peuvent être évalués de manière objective.
2.Mesure du degré de turbulence selon la norme EN 13779
Le confort thermique d’une personne est fortement dépendant des courants d’air dans un endroit. Les personnes sont très sensibles aux phénomènes de courants d’air qui représente la cause principale des plaintes par rapport au climat dans les bâtiments, les véhicules et les avions. Non seulement les courant d’air mais aussi le refroidissement indésiré – local – du corps est souvent ressenti comme inconfortable. La perte de chaleur du peau, causée par les courant d’air, est influencée par la vitesse d’air, mais aussi par la turbulence et la température de l’air.
3.Mesure WBGT selon les normes ISO 7243 / DIN 33403
Lors de l’évaluation du climat sur les lieux de travail, la température et l’humidité sont très importants. Par exemple, une chaleur sèche est plus confortable qu’une chaleur humide. L’index WBGT est déterminé selon les normes DIN 33403 et ISO 7243.
4.Mesure du CO2
Depuis quelques années, la qualité de l’air est considérée comme un facteur de plus en plus important pour notre santé. Une mauvaise qualité de l’air dans des locaux fermés peut provoquer un manque d’air “frais”. Cela résulte chez les occupants en une sensation d’inconfort, de fatigue, une diminution de la concentration et de la performance. Ces phénomènes se définissent par le terme Anglais “Sick Building Syndrome”.
La concentration de CO2 est le paramètre le plus important pour l’évaluation d’une “bonne” qualité de l’air (IAQ), c-à-d. contrôler si l’air ambiant est vicié et si l’apport d’air frais doit être augmenté ou diminué.